Après les lancements des substituts à la viande et au lait, le marché s’interroge. Faut-il proposer des recettes sophistiquées ou privilégier le légume brut ? Eléments de réponse.
(…) « Il n’est pas question de remplacer la viande, mais plutôt d’apporter des solutions pratiques pour varier les mesnus. La marque a pour vocation à démocratiser la protéine végétale » affirme Laure Perez, responsable de marque traiteur et digital Herta.
Un positionnement qui rejoint le constat de Sylvain Zaffaroni, cofondateur du cabinet Happyfeed : « Contrairement aux Anglo-Saxons, les Français devraient bouder les faux steaks qui ont l’odeur et la texture de la viande. Le côté naturalité disparaît dans les substituts à la viande. Sur le moment, le consommateur est ravi. Puis, il se pose des questions sur les recettes. » (…)
Retrouvez nos interventions dans le magazine LSA du 30 août 2018 dans le magazine ou sur le site www.lsa-conso.fr